Un mois sans news
Je ne suis pas mourru, juste un peu fatiguée...
Ces dernières semaines, j'ai enchainé les sorties et les rdv afpa/anpe (ça n'a rien donné, dommage) et mon petit corps à fini par dire stop. Résultat, une belle grosse bronchite des familles dont je me remets à peine.
En même temps, je ne bosse toujours pas. D'ailleurs, c'est pas faute d'avoir des entretiens mais bizarrement je n'ai plus de nouvelles de personne après ça (même pas un petit mail négatif, c'est rageant). Ma mère pense que c'est à cause de mon piercing à la langue ; elle me dit qu'il se voit et que ça rebute les gens. Mais bon, je crois plutôt que même s'il y a des recrutements nécessaires en cours, les entreprises sont devenues frileuses...
La seule et unique mission qui m'a été proposée ce mois-ci, je l'ai refusée. Je les aime bien mais bosser même pas une demie journée (en vrai, à peine 3h30 parce que je bosse vite), ça m'apporte plus d'embêtements qu'autre chose.
Et comme ma demande de formation est au point mort, je dois rester dans ma branche. Joie !
J'ai donc décidé de me consacrer à ma vie sociale, à défaut de ma vie professionelle qui stagne puisque, ma bonne dame, c'est la crise. Pas bien difficile en fait, ma petite bande de joyeux lurons d'ovs est toujours sur la brèche quand il s'agit d'un ciné, de faire du shopping ou de prendre un verre.
Et là, cinq jours sans mettre le nez dehors alors que le soleil brille, c'est dur. Je crois que j'ai pris goût à toute cette agitation, moi qui l'année dernière à la même époque ne cotoyait quasiment que mes collègues de travail.